Khirokitia, campagne 1991, secteurs ouest et est
- CH23/1/1
- Dossier
- 1991
Fait partie de Mission archéologique française de Cap Andreas-Kastros et de Khirokitia (Chypre)
Khirokitia, campagne 1991, secteurs ouest et est
Fait partie de Mission archéologique française de Cap Andreas-Kastros et de Khirokitia (Chypre)
Khirokitia, campagne 2002, secteur est, opération 1
Fait partie de Mission archéologique française de Cap Andreas-Kastros et de Khirokitia (Chypre)
Campagne 1977, secteur ouest de Khirokitia, fiches 1 à 86
Fait partie de Mission archéologique française de Cap Andreas-Kastros et de Khirokitia (Chypre)
Fiches 1 à 18 : objets en silex (éléments de faucille, lames à dos abattu, lames denticulées, racloir, lame retouchée, grattoirs, lame tronquée, burin dièdre).
Fiches 19 à 49 : objets en os (aiguilles, outils, dent appointie (aiguille ou pointe), poinçons, pointes, os travaillé, os utilisé, dent travaillée).
Fiches 50 à 67 : objets en pierre (hache, hachette, plats, bassins, anneau pointé, vase, bols, demi-anneau, pierre placée sur le crâne, molettes, mortier, galet utilisé, pilon).
Fiches 68 à 83 : objets en céramique (jarres, bassins, bassins à bec verseur).
Fiches 84 à 86 : dentale, coquillage, os.
Campagne 1991, secteurs ouest et est de Khirokitia, fiches 1 à 32
Fait partie de Mission archéologique française de Cap Andreas-Kastros et de Khirokitia (Chypre)
Objets en pierre (plats, bols, vaisselle, coupelle, bec verseur, pendentifs, perle, élément de parure, plat à anse, galets gravés, pilon, meule dormante, bol de colorant, hachette, haches, bol à bec verseur, mortier, figurine). Les pierres utilisées sont le calcaire, l'andésite et l'ocre.
Campagne 1994, secteurs ouest et est de Khirokitia, fiches 1 à 41
Fait partie de Mission archéologique française de Cap Andreas-Kastros et de Khirokitia (Chypre)
Objets en pierre (haches, godets, pelle, bassins, vaisselle, anneaux pointés, perles, bol à bec verseur, fragment de plaque, godet, plat à tenon, galets gravés, objets de parure, masse d'armes). Les pierres utilisées sont le diabase, le calcaire, la picrolite et la calcédoine.
Bois de daim, coupelle en coquillage, coquillage découpé en couronne.
Campagne 1995, secteurs ouest et est de Khirokitia, fiches 1 à 98
Fait partie de Mission archéologique française de Cap Andreas-Kastros et de Khirokitia (Chypre)
Fiches 1 à 90 : objets en pierre (mortiers, haches, molettes, plats, bassins, coupelle, bols, pierre à oreilettes, galet utilisé, plats à tenon, marteau, galets, perles, armature de flèche, figurines, vaisselle, galet gravé). Les pierres utilisées sont le diabase, le calcaire, la picrolite, le silex ; bassin à bec verseur en céramique, pendentif en coquillage.
Fiches 91 à 98 : objets en os (pointes, percuteurs, gaines, os de chien).
Recherches franco-bulgares sur le site néolithique de Kovacevo en Bulgarie
Fait partie de Expositions de la Maison René-Ginouvès, Archéologie et Ethnologie
L'exposition a été réalisée au cours de l'hiver 2010-2011, sur proposition de Marion Lichardus, Jean-Paul Demoule (Equipe Protohistoire Européenne (UMR 7041 ArScAn) et Laure Salanova (UMR 7055)
Conception, tirages : Fanny Bastien, Martine Esline, (MAE, USR 3225).
Auteur des textes : Jean-Paul Demoule.
Texte d'introduction de Marion Lichardus et J.-P. Demoule
"La mission de Kovačevo (Bulgarie) a été entreprise en 1986 dans le cadre de l'enseignement et de l'équipe de Protohistoire européenne de l'Université de Paris I et du CNRS. Jusque-là, les fouilles de cette équipe s'étaient concentrées dans le Bassin parisien (vallée de l'Aisne, notamment) et en Belgique, à l'extrémité du courant de colonisation néolithique danubien. Ce courant provenait du Proche-Orient ; il avait pénétré en Europe et pris pied dans la péninsule balkanique au cours de la seconde moitié du VIIe millénaire. C'est pourquoi les responsables de la mission, Marion Lichardus-Itten et Jean-Paul Demoule, choisirent d'ouvrir une fouille sur un site du néolithique le plus ancien des Balkans. La vallée de la Struma (Strymon), fleuve du sud-ouest de la Bulgarie qui se jette dans la mer Égée, fut choisie parce qu'elle est l'un des axes de pénétration les plus commodes depuis la côte vers l'intérieur des Balkans, et parce qu'elle était alors fort peu connue. L'unique site de cette époque, Kovačevo, venait d'y être découvert et sondé dans le cadre d'une mission bulgaro-polonaise. Il fut donc retenu pour une fouille d'ampleur.
D'après les ramassages de surface et les prospections électriques, le site couvre environ 6 hectares, avec une stratification maximale de trois mètres, mais avec des parties plus érodées, car le site occupe une pente. Il se trouve sur la terrasse d'un affluent de la Struma, la Pirinska Bistrica, descendu des montagnes du Pirin qui culminent à près de 3.000 mètres ; il n'est qu'à quelques kilomètres de la frontière grecque. La stratégie choisie a été d'ouvrir une grande surface, de près de 1.700 m2, complétée par une série de 12 sondages qui précisent l'étendue et la stratigraphie du site. Tous les sédiments ont été tamisés et une attention particulière a été portée aux analyses géo-archéologiques, conduites par Jacques-Léopold Brochier et Jean-François Berger de façon expérimentale et pionnière afin de comprendre le processus de formation des couches. Les travaux de terrain se sont déroulés de 1986 à 2007 et la mission est actuellement dans la phase d'études et de publication.
L'occupation principale date donc du Néolithique ancien, entre 6200 et 5400 environ – ce que confirment les dates au radiocarbone et par archéomagnétisme. Elle est suivie par une occupation plus courte du néolithique moyen, après 5400, avec la céramique noire cannelée caractéristique de cette période. Après une interruption, le site est à nouveau densément occupé au Bronze ancien local (milieu du IVe millénaire), avec des éléments de fortification et une poterie qui évoque à la fois Ezero en Thrace bulgare, et les niveaux Dikili Tash III et Sitagroi IV-V, sites grecs peu éloignés. Enfin des traces sporadiques de l'âge du Fer, de l'Antiquité et même des guerres balkaniques sont présentes.
Ces niveaux du Néolithique ancien sont désormais les mieux étudiés pour le sud-ouest de la Bulgarie, le nord de la Grèce et la Macédoine yougoslave. Ils appartiennent à un faciès culturel qui s'étend sur la Macédoine occidentale grecque (Giannitsa), la Macédoise yougoslave (Anzabegovo) et toute la Bulgarie du sud-ouest. Ce faciès est antérieur à la culture de Karanovo I, avec laquelle commence, sur ce site de référence, le néolithique dans la grande plaine bulgare. Il se présente comme un village assez densément occupé, avec des maisons rectangulaires utilisant différentes techniques de construction et qui aura perduré pendant près d'un millénaire. L'occupation tend à se dilater au cours du temps, les phases les plus anciennes étant regroupées en bordure de terrasse."
Exposition et photographies de Marion Lichardus-Itten, Jean-Paul Demoule, Martine Esline.
Les auteurs de la photographie en ligne sont Marion Lichardus et Jean-Paul Demoule.
Campagne 2007, Khirbat adh-Dharih, film n°374, juillet-août 2007
Fait partie de François Villeneuve. Archéologie du Proche-Orient hellénistique et romain
Négatif n°1. S8 sud : restauration du dallage en cours, vers le nord-est.
Négatifs n°2-4. S8 sud-centre : sondage de décapage du dallage enfoncé, juste au sud du mur byzantin est-ouest avec un petit bloc mouluré tombé le long du mur ouest du couloir.
Négatif n°5. Bloc d'assise à feuille en arc 13.005 (de S11C).
Négatif n°6. Inscription arabe.
Négatif n°7. S8B entre les pilastres 3 et 4 du mur ouest du temple, ouverture du souterrain, dallage du corridor, en place au sud, effondré au nord, mortier du dallage, couverture et mur ouest. Vue de l'ouest.
Négatif n°8. Chantier S2SS-TT, niveau mamelouks-ottomans. Vue d'en haut au nord.
Négatifs n°9-12. S9 au centre et au fond : bouche citerne du dallage.
Sia, céramique de divers chantiers
Fait partie de François Villeneuve. Archéologie du Proche-Orient hellénistique et romain
Diapositives 1-7. Sia 8, cuves.
Diapositive 8. Sia 8, s. 289.
Diapositives 9-10. Sia I.
Diapositives 11-12. Sia, dépotoir.
Fait partie de Jean Perrot. Du Village à l'Etat au Proche- et Moyen-Orient
Relevé 1. Plan non légendé, représentant le secteur Sud (s. d.).
Relevés 2-3. Plan du secteur nord, niveau 2A avec phasage 2A1, 2A2, 2A3 (s. d.).
Relevé 4. Plan de situation de Munhata et de Neve Ur, n° I (s. d.).
Relevé 5. Plan des campagnes 1962-1963, n° II.
Relevé 6. Plan de la campagne de 1964. n° III.
Relevé 7. Plan de la campagne de 1964. n° III (réduction).
Relevés 8-10. Plans du secteur Nord, niveau 2A, n° IV (s. d.).
Relevé 11. Plan du secteur Nord, niveau 2B, n° V (s. d.).
Relevés 12-13. Plans du secteur Nord, niveau 3, n° VI (1966).
Relevé 14. Plan du secteur Nord, n° VII (1965).
Relevé 15. Coupe A, A' – B, B', n° VIII (1965).
Relevés 16-17. Plans du secteur Nord, niveau 2, n° IX (1966).
Relevés 18-19. Plans du secteur Nord, n° X (s. d.).
Relevé 20. Plan du secteur Nord, n° XI (s. d.).
Relevés 21-22. Coupes A-B, secteur Nord, n° XII (1966).
Relevés 23-24. Plans d'ensemble final 1962-1967, n° XIV (1967).
Relevé 25. Plan du locus 514 (s. d.).
Ces relevés sont des tirages des originaux conservés à la cote JP957 sauf les relevés 1 à 3 dont les originaux n’ont pas été conservés.
Seuls les relevés n°1 et n°2 ont été numérisés.
Fait partie de Equipe "Ethnologie préhistorique"
Coupes 1-2. Coupe Nord-Ouest-Sud Est et coupe du talus en R.Q (sans auteur, 1959).
Coupes 3-5. Coupes « B » (sans auteur, 1961).
Coupe 6. Coupe Ouest Bison (sans auteur, 1963).
Coupe 7. Coupe Est Bison (sans auteur, 1963).
Coupe 8. Plafond Bison en T.U. (sans auteur, 1963).
Coupe 9. Coupe Nord, mètre 8 (sans auteur, s.d.).
Coupe 10. Coupe dans le mètre S (sans auteur, s.d.).
Coupe 11. Coupe en « T » (sans auteur, s.d.).
Coupe 12. Profil de la Grotte du Bison en TU vers S. (sans auteur, s.d.).
Coupe 13. Sans intitulé (sans auteur, 1963).
Coupes 14-15. Sans intitulé (sans auteur, s.d.).
Flore d'Arcy-sur-Cure, Saint-Moré, Voutenay, La Jarrie, Lac Sauvin et Précy-le-Sec
Fait partie de Equipe "Ethnologie préhistorique"
Textes préparatoires de M. Gaminet.
Texte 1. Voutenay, La Jarrie, Lac Sauvin, Saint-Moré, Précy-le-Sec, Arcy-sur-Cure. Flore des chaumes, des rochers, des terrains secs, des broussailles, des remblais et des vieux murs, s.d.
Texte 2. Voutenay, La Jarrie, Lac Sauvin, Saint-Moré, Précy-le-Sec, Arcy-sur-Cure. Cultures disparues ou en voie de disparition, introduites récemment, s.d.
Texte 3. Voutenay, Saint-Moré, Arcy-sur-Cure. Flore des mares, des sources, des fossés et des abords de la Cure, s.d.
Texte 4. Voutenay, La Jarrie, Lac Sauvin, Saint-Moré, Précy, Arcy-sur-Cure. Arbres bois, flore des sous-bois, s.d.
Texte 5. Voutenay, La Jarrie, Lac Sauvin, Saint-Moré, Précy, Arcy. Liste alphabétique des plantes rencontrées sur ces territoires, s.d.
Texte 6. Voutenay, La Jarrie, Lac Sauvin, Saint-Moré, Précy, Arcy-sur-Cure. Plantes rencontrées sur ces territoires, classement par familles (1982).
Exposition pour les visiteurs du site
Fait partie de Equipe "Ethnologie préhistorique"
Panneaux d'exposition.
Fait partie de Equipe "Ethnologie préhistorique"
Photographies, note.
Fait partie de Equipe "Ethnologie préhistorique"
Listes des équipes, plannings, coordonnées de fouilleurs, lettres d’inscription, "cahier de cours".
Fait partie de Equipe "Ethnologie préhistorique"
Plannings, liste des équipes, coordonnées de fouilleurs, lettres d’inscription, fiche de notation.
Fait partie de Equipe "Ethnologie préhistorique"
Plannings, coordonnées de fouilleurs, fiches de renseignements, lettres d’inscription.
Fait partie de Equipe "Ethnologie préhistorique"
"Ordres de travail", texte d'annonce des fouilles, notes, discours (auteur inconnu), dessins humoristiques, note sur la typologie du nucleus, notes de cours.
Présence de deux photographies de groupe collées sur un planche (1946 ?).
Fait partie de Equipe "Ethnologie préhistorique"
Plan 1. Pincevent, plan directeur, couche IV magdalénien, zone 11, 1964-1966 (auteur : P. Guilloré, [1966].
Plan 2. Section 45 L-X 118-145, 1964-1966 (auteur : P. Guilloré, [1966].
Plan 3. Section 45 N-V 139-147, 1964-1966 (auteur : P. Guilloré, [1966].
Plan 4. Section 45 N-V 139-147, unité R143, remontage des grès (sans auteur, s. d.).
Plan 5. Section 45, unité R143, (auteur : P. Guilloré, s. d.).
Plan 6. Section, unité R143, faune (sans auteur, s. d.).
Plan 7. Section, unité R143, burins et chutes de burins (sans auteur, s. d.).
Plan 8. Section, unité R143, grattoirs/burins (sans auteur, s. d.).
Plan 9. Section, unité R143, lamelles à dos (sans auteur, s. d.).
Plan 10. Section, unité R143, tous types de vestige (sans auteur, s. d.).
Plan 11. Section, unité R143, grattoirs (sans auteur, s. d.).
Plan 12. Section, unité R143, perçoirs (sans auteur, s. d.).
Plan 13. Section, unité R143, lames et éclats (sans auteur, s. d.).
Plan 14. Section, unité R143 (sans auteur, s. d.).
Plan 15. Section, Q-V 141-147 (sans auteur, s. d.).
Plan 16. Section, L-X 118-145 (sans auteur, s. d.).
Plan 17. Section, unité R143 (sans auteur, s. d.).
Les plans n° 4, 6 à 13 et 17 sont annotés.
Fait partie de Equipe "Ethnologie préhistorique"
Plans 1-2 et tirages photographiques 1-2. Plans de situation des travaux en 1950 et tirages photographiques du plan et d’une coupe (sans auteur, 1950).
Plans 3-4. Topographie des grottes d’Arcy (sans auteur, 1961).
Plan 5. Relevé au 1/100 des grottes bordant La Cure, du Lion au Cheval, pour l’établissement d’un plan général et de coupes par rapport à La Cure (sans auteur, 1961-1962).
Tirage photographique 3 et plans 6-7. Tirage photographique, plan original de situation des grottes préhistoriques d’Arcy-sur-Cure et tirage (sans auteur, s.d.).
Plan 8. Profil général altitude Cure et zéro des différentes grottes (sans auteur, 1961-1962).
Plans 9-12. Topographie des grottes des Ours, du Trilobite, de l’Hyène, du Lion, du Loup et Galerie Schoepflin (Hesse, Michel Egloff, Ichon, sans auteur, 1962 et s.d.).
Plans 13-19. Tirages des plans des grottes du Lion, Loup, Bison, Renne, Galerie Schoepflin, Ours, Trilobite, Hyène et Cheval (Roger Humbert, s.d.).
Plan 20. Plan du réseau, grotte des Fées, grotte des deux cours à l’échelle 1:500 (Groupe spéléologique et préhistorique Parat, 1963).
Plan 21. Non légendé (sans auteur, 1960).
Présence de deux feuilles de repères topographiques (sans auteur, 1961) classées en fin de dossier.
Fait partie de Equipe "Ethnologie préhistorique"
Planche 1 et négatifs 1-36. Grotte du Trilobite et Grotte du Renne (niveaux VI, VII, VIIb, IXc, Xb, Xc).
Planche 2 et négatifs 1-42. Grotte du Renne (niveaux V, Vc, VI, VIII, Xa, Xb2, Xc).
Planche 3 et négatifs 1-42. Grotte du Renne (niveaux VI, VIIb, VIII, VIIIa, X, Xb, Xb2).
Planche 4 et négatifs 1-37. Grotte du Renne (niveaux IV, V, VII, Xb, Xb2, Xc).
Planche 5. et négatifs 1-42. Grotte du Renne (niveaux VII, IXa, IXc, Xb), Grotte du Trilobite et sans provenance.
Planche 6 et négatifs 1-42. Sans provenance, Grotte des Fées, Grotte du Renne (niveaux VII, Xa, Xb, Xb1b, Xb2, Xc).
Planche 7 et négatifs 1-36. Grotte du Renne (niveaux VII, VIII, Xa, Xb , Xb1).
Planche 8 et négatifs 1-36. Grotte du Renne (niveaux V, VII, VIII, Xb).
Planche 9 et négatifs 1-38. Grotte du Renne (niveaux IV, V, Vb).
Planche 10 et négatifs 1-42. Grotte du Renne (niveaux IV, V, Vb, VII, Xa).
Planche 11 et négatifs 1-42. Grotte du Renne (niveaux IV, V, Vb, VIII, Xb.
Planche 12 et négatifs 1-39. Grotte du Renne (niveaux V, Vb, VIII).
Planche 13 et négatifs 1-42. Grotte du Renne (niveaux VI, VII, VIIb, VIII, IXc, Xb, Xb2).
Planche 14 et négatifs 1-42. Grotte du Renne (niveaux VII, VIII, Xa, Xb, Xb1).
Planche 15 et négatifs 1-37. Grotte du Renne (niveaux VII, VIII, IXa, Xa, Xb, Xb2, Xc).
Planche 16 et négatifs 1-37. Grotte du Renne (niveaux V, VII, VIII, Xb).
Planche 17 et négatifs 1-42. Grotte du Renne (niveaux VIIb, VIII, VIIIa, Xb, Xc).
Planche 18 et négatifs 1-42. Grotte du Renne (niveaux V, IXa, , IXc, X, Xa, Xb2, Xc).
Planche 19 et négatifs 1-36. Grotte du Renne (niveaux V, Vc, VII, VIIb, Xa, Xc) et Grotte du Trilobite.
Planche 20 et négatifs 1-37. Grotte du Trilobite, sans provenance, Grotte des Fées et Grotte du Renne (niveaux VII, Xb).
Planche 21 et négatifs 1-6. Grotte du Renne (niveaux V, VII).
Planche 22 et négatifs 1-12. Non légendés.
Planche 23 et négatifs 1-16. Non légendés.
La planche 6 est en double.
L'auteur des photographies n'est pas indiqué.
Fait partie de François Villeneuve. Archéologie du Proche-Orient hellénistique et romain
Diapositives 01-02. Dharih 1992, V1, Autel 8.243. .
Diapositives 03-04. Dharih 1996, V1, bétyle 8.242.
Diapositive 05. Dharih 1987, bloc DH87 sur 1 trouvé en ?, Ifapo.FV.71.35.
Diapositive 06. Dharih 1998, S2.BB20.D2, fragment petit autel marbre, face.
Diapositives 07-09. Dharih 1998, S2.CC.9.148, statuette marbre.
Diapositives 10-11. Dharih 2004, S10D, bloc 12.204, table offrande.
Diapositive 12. Dharih 2001, xxxD1, reliquaire en marbre (provenance : remblais de la rampe est) vu de dessus.
Diapositive 13. Dharih 2001, xxxD1, reliquaire en marbre (provenance : remblais de la rampe est) vu de côté.
Diapositive 14. Dharih 1985, S3.F.P8, bloc à rainures, Ifpo-FV-71-34.
Participation aux fouilles de Sia 8
Fait partie de François Villeneuve. Archéologie du Proche-Orient hellénistique et romain
Diapositive 1. Sia 8, objet 79.8, tranchée sud, téménos 1-2, couche 3, inscription safaïtique sur vase en pierre et retranscription (1979).
Diapositive 2. Sia 8, façade après restauration de la niche Nord (1981).
Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan
Fait partie de Expositions de la Maison René-Ginouvès, Archéologie et Ethnologie
L’exposition a été conçue et réalisée par André Pelle (MAE, UMS 844) durant l'hiver 2000-2001.
Les textes et légendes sont d’Arlette Leroi-Gourhan et d’Ichiro Yamanaka.
Les auteurs des tirages photographiques sont Martine Esline et Serge Oboukhoff (MAE, UMS 844).
Texte d'introduction d'Arlette Leroi Gourhan et d’Ichiro Yamanaka
" C’est en mars 1937, après un mois de navigation, qu’André et Arlette Leroi-Gourhan arrivent à Kobé avec, en poche, une bourse d’étudiant obtenue du Japon. Ils vont parcourir toutes les îles, des grandes forêts du Hokkaïdo aux volcans du Kiou Siou. Les japonais voyageaient alors beaucoup, grâce à des petites lignes de chemins de fer complétées par un vaste réseau d’autobus ; les auberges étaient nombreuses. André Leroi-Gourhan qui lisait le chinois, devait maintenant apprendre à lire les mêmes signes en japonais et, surtout le parler. Sur une colline de Kyoto, notre maison dominait les grands toits des temples shintoïstes ou bouddhistes et les ruelles de la vieille ville. A cette époque, les fouilles préhistoriques étaient peu développées et c’est surtout en tant qu’ethnologue qu’André Leroi-Gourhan, particulièrement attiré par les techniques, prendra des certaines de photos. Les maisons dont les toits changent d’une région à l’autre, les détails concernant les pilotis, comme sous notre maison de Nojiri, les installations intérieures avec les différents murs à glissières, la richesse architecturale des temples, qu’ils soient parmi les plus importants ou perdus dans la forêt, les constructions de minuscules ponts de bois dans les rizières. Chaque détail était objet de réflexion. Le harnachement des chevaux l’a, par exemple, beaucoup étonné par sa diversité : très différent sur l’animal de prestige, celui qui court pour un temple, le cheval déifié en bronze grandeur nature ou celui qui travaille dans les rizières. Si, en 1937, Tokyo était déjà influencé par l’Occident, il n’était pas pensable à Kyoto de rencontrer une femme ne portant pas le kimono et, dans la plus grande partie du pays, les traditions restaient très vivaces. Sur le bateau du retour, André Leroi-Gourhan s’était fixé un nombre d’heures de travail journalier pour rédiger, à chaud, l’apport de ces deux années d’exploration du mode de vie japonais et les questions qu’il soulevait. Nous étions en mai 1939, après 1945, tout écrit sur le Japon fut interdit et le manuscrit inachevé se retrouva au fond d’un tiroir. C’est en partie celui qui, 62 ans après, accompagnera les photos prises à l’époque.
Après la parution de son premier ouvrage, la civilisation du renne ( 1936), une bourse de deux ans au Japon est proposée à André Leroi-Gourhan. C’est ainsi qu’il quitte avec sa jeune femme Marseille le 12 mars 1937. Leur bateau fait escale à Naples (Pompeï), Port-Saïd, Ceylan, Singapour, et Hong-Kong, puis à Shanghai. Ils arrivent finalement au Japon, le 19 avril. Ils choisissent de séjourner à Kyoto et s’installent sur la colline de Kujosan ; dans une maison dont les fenêtres dominent la ville, ancienne capitale du pays du Soleil Levant. C’est l’époque où une nouvelle discipline naît : l’ethnologie. Leroi-Gourhan essayera de saisir les apports offerts par les nouvelles façons de voir de cette science au Japon. Ils passent leur premier été, en juillet- août 1937, au bord du lac de Nojiri, juste au nord de la ville de Nagano, dans un coin montagnard du Japon central. C’est autour de leur maison estivale qu’il récoltera des documents sur la vie agricole. Puis, en septembre 1937, le couple partira sur l’île de Sado où André Leroi-Gourhan observera des hameaux de pêcheurs. Kyoto et Nara sont deux anciennes villes qui gardent, encore en ce temps-là, la belle tradition japonaise. C’est principalement dans cette région que Leroi-Gourhan prends de nombreuses photos des fêtes, des actes religieux, de la vie cérémonielle ainsi que quotidienne, et les techniques. Ils célèbrent le Nouvel An de 1938 dans le village montagnard de Daïsenji, tottori, dans le Honshu de l’ouest. A.Leroi-Gourhan va ensuite à Matsuë dans le département voisin de Tottori, et dans l’île de Kyushu : Fukuoka, Dazaifu, Kumamoto, où il gravit le célèbre volcan en activité d’Aso, en mars 1938. Au cours de l’été 1938, le couple part à Gifu et à Nagoya, dans le Honshu du centre, puis, au mois d’août et septembre, voyage au Hokkaïdo, le pays des Aïnous. Pour le Nouvel An de 1939, ils reviennent dans le village enneigé de Daïsenji. En dehors de ces voyages, A.Leroi-Gourhan doit aller plusieurs fois à Tokyo. Il y étudie, en juillet 1937, les collections archéologiques à l’Institut d’Anthropologie de l’Université Impériale de Tokyo, participe, en janvier 1938, aux fouilles à l’amas de coquille de Kami, attribué à l’époque Jomon, et négocie enfin avec l’Association pour l’Avancement de la Culture Internationale qui lui demande d’organiser l’exposition sur « L’ethnologie du Japon » au Musée de Trocadéro à Paris. Il s’agit d’une manifestation de propagande du pays à l’occasion des Jeux Olympiques de 1940 qui devaient avoir lieu à Tokyo. C’est ainsi qu’il parcouru le Japon, notant la variété de la richesse des formes dans les différentes provinces. Pour les détails techniques, les nombreuses photos – plus de 1600 en fait- , plus explicites qu’un texte, ont précédé l’observation et l’analyse. L’étude des objets, jointe à la possibilité de noter les gestes qui accompagnaient leur fabrication et leurs usages, a élargi cette voie nouvelle qui permettait de lier l’ethnologie à la préhistoire. Dans un milieu naturel inchangé depuis 2000ans, le Japon avait conservé ses techniques ancestrales. Cela permit à A. Leroi-Gourhan de rassembler une importante documentation sur les éléments marquant des méthodes traditionnelles. Les ouvrages de L’homme et la matière, puis, Milieu et techniques qu’il publiera en 1943 et en 1945 doivent beaucoup aux documents enregistrés au Japon. Les événements de l’année 1939 le forcent à un inévitable retour en France, bouleversant des mois de travail. Mais il subsiste malgré tout cette importante documentation photographique encore utilisable de nos jours."
Trois millénaires de civilisation entre Colombie et Equateur. La région de la Tumaco La Tolita
Fait partie de Expositions de la Maison René-Ginouvès, Archéologie et Ethnologie
L'exposition a été réalisée par J.-F Bouchard (UMR 8096 Archéologie des Amériques, Nanterre) et P. Usselman (UMR 6012, Maison de la Géographie, Montpellier) au printemps 2003.
Numérisation et tirages numériques : Martine Esline (MAE, UMS 844).
Texte d'introduction de J.-F Bouchard et P. Usselman
"La région Tumaco La Tolita comprend environ 400 kilomètres sur la côte nord équatorial du Pacifique, de part et d'autre de la frontière entre la Colombie et l'Equateur. Ces basses terres, situées entre l'Océan et la Cordillère occidentale, ont été occupées, il y a près de trois milliers d'années par des groupes amérindiens. En marge des grandes aires culturelles préhispaniques du Pérou et de la Méso-amérique, cette région a vu se développer des civilisations d'une grande originalité, au milieu d'un environnement souvent déconcertant aux yeux de ceux qui la découvrent.
Le brillant passé de ces populations est illustré en particulier par la principale phase culturelle, appelée Tumaco La Tolita qui s'épanouit dans ces milieux tropicaux humides entre environ 300 avant J.C. et 300 après J.C.
Après cette période exceptionnelle, les populations amérindiennes connurent des difficultés à trouver un équilibre stable et semblent avoir connu une récession drastique socioculturelle. Au XVIe siècle, les conquistadors menés par Pizarro, partis de Panama à la recherche des richesses des Andes préhispaniques, atteignirent d'abord ces rivages, mais sans vraiment les chercher à les occuper. Néanmoins, dans les siècles qui suivirent, ce furent colons occidentaux et des afro-américains qui prirent
le contrôle de ces basses terres du Pacifique. Ces nouveaux occupants, aux origines si différentes, y ont introduit leurs propres modèles socio culturels et économiques dont les impacts ont souvent été plus destructeurs que positifs. L'entrée récente de technologies modernes n'est pas toujours synonyme d'amélioration car le milieu naturel et les groupes humains traditionnels sont très menacés par cette modernisation.
Les recherches menées par JF Bouchard (UMR 8096, MAE Nanterre) et P. Usselmann (UMR 6012, Maison de la Géographie, Montpellier) croisent les visions de l'archéologie et la géographie, Elles montrent l'histoire de cette région depuis son peuplement indigène jusqu'à nos jours et suggèrent que l'avenir raisonné de ces basses terres ne devrait pas se construire sans la connaissance de son passé indigène."
Vivre avec les rennes. Adaptations biologiques et culturelles : le système renne
Fait partie de Expositions de la Maison René-Ginouvès, Archéologie et Ethnologie
L’exposition a été réalisée par la Maison René-Ginouvès (UMS 844) à l’initiative de Claudine Karlin Archéologue (Equipe Ethnologie préhistorique, UMR 7041) durant le printemps 2004.
Conception, numérisation, tirages : Martine Esline (MAE, UMS 844).
Textes : ACI (UMR 6130).
Présence d'une convention de prêt de l'exposition et d'une lettre (2008).
Texte d'introduction
"L’âge du Renne
En contexte préhistorique, le degré de mobilité des groupes humains témoigne directement des modes d’exploitation des territoires. La définition du degré de mobilité permet donc, selon toute vraisemblance, d’appréhender l’extraordinaire adaptation des hommes aux évolutions climatiques majeures qu’a connu la Terre au cours du Quaternaire. La reconstitution des formes de la mobilité est fondée sur la caractérisation fonctionnelle des sites, sur la possibilité de différencier leurs statuts respectifs et leur place dans les stratégies de subsistance, de les lier ainsi les uns aux autres pour reconstituer un modèle d’organisation économique et sociale.
A la fin du Paléolithique, pendant plusieurs millénaires, alors que des conditions climatiques assez drastiques règnent en Europe occidentale, la chasse du Renne semble souvent au cœur de l'économie de subsistance. De ce fait, la traque de cet animal a été systématiquement posée comme le fondement de l’organisation logistique des chasseurs, les autres activités de collecte des denrées végétales et carnées étant considérées comme complémentaires et éventuellement saisonnières. Le degré de mobilité des groupes serait alors liée aux comportements et notamment aux migrations des rennes eux-mêmes.
Les systèmes techniques relevant de ce mode économique, en apparence standardisé, présentent une palette de modalités que l’on peut mettre en relation, entre autres, avec le contexte environnemental, en même temps qu'elle traduit une diversité des organisations sociales. Compte tenu des imprécisions chronologiques propres à ces périodes, il est souvent difficile de distinguer ce qui procède des stratégies d’adaptation à des conditions écologiques particulières (changements climatiques ou particularités géographiques) de ce qui procède de choix culturels.
Les économies du renne, aujourd’hui
Les économies du renne, aujourd’hui
L’immense territoire de la Sibérie permet encore d'observer les comportements d’Hommes et d’animaux évoluant dans des biotopes comparables à ceux des périodes préhistoriques considérées ci-dessus. Par ailleurs, qu'il s'agisse des domaines techniques, sociaux ou symboliques, l’ensemble des traditions des communautés indigènes (Tchouktches, Koriaks, Evenks, Dolganes,…) est fondé sur l’omniprésence du renne.
Pourtant, des différences majeures de logistique et d’organisation peuvent être perçues : elles sont liées pour partie aux spécificités culturelles affichées par les différents groupes mais aussi aux importantes variations des conditions écologiques rencontrées dans cette zone. En effet, entre 63° et 70° de latitude nord, les variations climatiques sont considérables, reproduisant peu ou prou la diversité des biotopes fréquentés par les paléolithiques lors des épisodes froids du Quaternaire. Chacune des biozones présente sa propre spécificité, avec ses contrastes saisonniers et ses ressources potentielles, spécificité primordiale en terme de stratégie de subsistances, puisqu’elle se décline différemment dans le temps et dans l’espace selon que l’on se trouve dans un écosystème ou dans un autre. Il en va de même pour les systèmes techniques et symboliques.
Le monde sibérien permet de faire varier, selon le lieu d'enquête, différents paramètres qui influent sur les systèmes fondés sur l’exploitation du renne. L’objectif du projet est d’élaborer des modèles actualistes interdisciplinaires susceptibles d’être utilisés pour la compréhension des systèmes préhistoriques présentant le même tropisme vers cet animal. Une analyse ethno-archéologique systémique cherche à identifier des faits et des catégories perceptibles à travers les données fournies par l’archéologie (diètes, structures évidentes et latentes, cultures matérielles, représentations symboliques) en observant les réseaux de liens qu'ils entretiennent avec l'ensemble du système vivant.
Les missions au cours desquelles ont été prises ces photographies ont été largement soutenues par l'Institut Français pour la Recherche et la Technologie Polaire (IFRTP), aujourd'hui Institut Paul Emile Victor (IPEV), et aidée, pour Ethno-Renne, par le Ministère des Affaires Étrangères. C'est sur l'ensemble des résultats obtenus qu'a été construit l'ACI TTT Adaptations biologiques et culturelles, le système renne, à laquelle participent des archéologues, des anthropologues, des ethnologues."
Fait partie de Jean-Louis Huot. Du Village à l'Etat au Proche- et Moyen-Orient
N° 01. Oueili, 1985 (auteur PMA).
N° 02. Plan d'ensemble U36 - Construction principale et installations à casiers.
N° 03. Oueili, 1985 - D41 - Nord vers U36 (auteur PMA).
N° 04. Oueili, 1985 - D32 - Nord vers U36 (auteur PMA).
N° 05. Oueili, 1985 - D51 - Nord vers W36 (auteur PMA).
N° 06. Oueili, 1985 - D17 - Nord vers W36 (auteur PMA).
N° 07. Oueili, 1985 - D16 - Nord vers U37 (auteur PMA).
N° 08. Oueili, 1985 - D15 - Nord vers W36 (auteur PMA).
N° 09. Oueili, 1985 - D14 - Nord vers U37 (auteur PMA).
N° 10. Oueili, 1985 - D12 - Nord vers V37 (auteur PMA).
N° 11. Oueili, 1985 - D13 - Nord vers U35 (auteur PMA).
N° 12. Oueili, 1985 - D9 - Nord vers U36-U35 (auteur PMA).
N° 13. Oueili, 1985 - D6 - W35 (auteur PMA).
N° 14. Oueili, 1985 - D10 - Nord vers W35. (auteur PMA).
N° 15. Tell el Oueili, 1985 - Coupe Ouest des carrés W36 et W37 (partiel) - Echelle 1/20° - Berme W36-W37.
N° 16. Fouilles 1985. T35 - Les vestiges Obeid 0 : les niveaux médians, ensemble 87.37 et muret 87.78.
N° 17. Fouilles 1985. T35 - Les vestiges Obeid 1.
N° 18. Fouilles 1985. T35 - Les vestiges Obeid 0 : les niveaux inférieurs : ensembles 85-87.50, 87.79 et mur 85-87.2.
N° 19. Fouilles 1985. T35 - Les vestiges Obeid 0 : le niveau supérieur (ensemble 87.41) et le muret 87.98 / T34 - Les vestiges Obeid 0.
Khirokitia, campagne 1977, secteur ouest
Fait partie de Mission archéologique française de Cap Andreas-Kastros et de Khirokitia (Chypre)
Khirokitia, campagne 1984, secteur est
Fait partie de Mission archéologique française de Cap Andreas-Kastros et de Khirokitia (Chypre)
Khirokitia, campagne 1986, secteur est
Fait partie de Mission archéologique française de Cap Andreas-Kastros et de Khirokitia (Chypre)
Khirokitia, campagne 1988, secteurs ouest et est
Fait partie de Mission archéologique française de Cap Andreas-Kastros et de Khirokitia (Chypre)
Khirokitia, campagne 2001, secteur est, opération 1
Fait partie de Mission archéologique française de Cap Andreas-Kastros et de Khirokitia (Chypre)
Khirokitia, campagne 2004, secteur est, opération 1
Fait partie de Mission archéologique française de Cap Andreas-Kastros et de Khirokitia (Chypre)
Campagne 1978, secteur ouest de Khirokitia, fiches 1 à 140
Fait partie de Mission archéologique française de Cap Andreas-Kastros et de Khirokitia (Chypre)
Fiches 1 à 21 : objets en silex (éléments de faucille, éléments de flèche, lame à dos abattu, perçoirs, grattoir sur lame, pointe, burin, armature, grattoirs concaves).
Fiches 22 à 63 : objets en pierre (fragment de vaisselle, bec verseur, anneaux pointés, pilon, galet gravé, louche (ébauche), haches, mortier, meule dormante, molette, marteau, percuteur, bassins, bols, plats, hachettes, bec verseur de bassin, meules). Les pierres utilisées sont l'andésite, le diabase, la calcédoine et le calcaire.
Fiches 64 à 127 : objets en os (outils, aiguilles, pointes, poinçons, os utilisé, dent travaillée, cornes, bois de daim).
Fiches 128 à 140 : objets en coquillage (pendentif en nacre, dentales, coquillage travaillé), lamelles en obsidienne, boulette perforée en terre, ocre rouge, bassin en céramique).
Campagne 1981, secteur ouest de Khirokitia, fiches 1 à 217
Fait partie de Mission archéologique française de Cap Andreas-Kastros et de Khirokitia (Chypre)
Fiches 1 à 77 : objets en pierre (pilon, haches, mortiers, molettes, masse d'armes, pierres gravées, bassin à bec verseur, meule, bol à bec verseur, bassins, plats, bols, bouton, pierre perforée, coupe, ocre travaillée, pendentifs, anneaux, anneaux pointés, élément de faucille, lame à dos abattu). Les pierres utilisées sont la stéatite, le calcaire, l'andésite et le silex.
Fiches 78 à 216 : objets en os (aiguilles, pointes, poinçons, aiguille à chas, esquilles appointées, os travaillés, dent travaillée) ; pendentif en coquillage.
Campagne 1983, secteurs ouest et est de Khirokitia, fiches 1 à 70
Fait partie de Mission archéologique française de Cap Andreas-Kastros et de Khirokitia (Chypre)
Fiches 1 à 19 : objets en os (aiguilles, pointes, poinçons, aiguilles à chas, esquilles appointées, os travaillés, dent travaillée).
Fiches 20 à 70 : Objets en pierre (élément lustré, plats, pierres sur crâne, pendentif, perles, pierre gravée, haches, bassins, bols, éléments de collier, anneau pointé, tenons, molette, galets gravés, mortier, pierre perforée, becs verseurs de bassin). Les pierres utilisées sont le silex, l'andésite, la stéatite et le calcaire ; ocre rouge.
Campagne 1987, secteur est de Khirokitia, fiches 1 à 2
Fait partie de Mission archéologique française de Cap Andreas-Kastros et de Khirokitia (Chypre)
Pointe en os, bec verseur en pierre.
Campagne 1997, secteurs ouest et est de Khirokitia. Potamos, fiches d'objets 1 à 77
Fait partie de Mission archéologique française de Cap Andreas-Kastros et de Khirokitia (Chypre)
Objets en pierre (palette, haches, molette, plats, bassins, coupelles, galets gravés, bassin à bec verseur, récipient, boule perforée, perle, anneaux, élément de parure). Les pierres utilisées sont le diabase, l'andésite, la picrolite et le calcaire.
Bois de daim, gaine en bois de daim, pendentif en dent de porc, brique en terre, élément de parure en coquillage.
Fait partie de Jean Perrot. Du Village à l'Etat au Proche- et Moyen-Orient
Relevé 1. Plan de situation de Munhata et de Neve Ur, n° I (s. d.).
Relevé 2. Plan des campagnes 1962-1963, n° II.
Relevé 3. Plan de la campagne de 1964, n° III.
Relevé 4. Plan du secteur Nord, niveau 2A, n° IV (s. d.).
Relevé 5. Plan du secteur Nord, niveau 2B, n° V (s. d.).
Relevé 6. Plan du secteur Nord, niveau 3, n° VI (1966)
Relevé 7. Plan du secteur Nord, n° VII (1965).
Relevé 8. Coupe A, A' – B, B', n° VIII. (1965)
Relevé 9. Plan du secteur Nord, niveau 2, n° IX (1966).
Relevé 10. Plan du secteur Nord, n° X (s. d.).
Relevé 11. Plan du secteur Nord, n° XI (s. d.).
Relevé 12. Coupe A-B, secteur Nord, n° XII (1966).
Relevé 13. Plan du secteur Sud, n° XIII (s. d.).
Relevé 14. Plan d'ensemble final 1962-1967, n° XIV (1967).
Relevé 15. Plan des campagnes 1962-1963.
Relevé 16. Plan incomplet et non légendé, représentant le secteur Nord (s. d.).
Relevés 17-18. Plan non légendé, représentant le secteur Sud (s. d.).
Relevé 19. Plan non légendé, représentant les secteurs Nord et Sud (s. d.).
Relevé 20. Plan du locus 851 (s. d.).
Relevé 21. Plan non légendé d’un chantier non identifié, carroyage C-D-E-3-4-5-6-7 (s. d.).
Relevé 22. Plan non légendé, représentant un détail du secteur Nord (s. d.).
Relevé 23. Plan de la structure niveau 5, secteur sud (s. d.).
Relevé 24. Plan du locus 514 (s. d.).
Relevé 25. Plan non légendé, représentant le secteur Nord et des contours d’architecture (s. d.).
Relevé 26. Plan de répartition topographique, secteur Nord (s. d.).
Relevé 27. Plan schématique (première partie), non légendé, représentant le schéma topographique du secteur Sud (s. d.).
Relevé 28. Plan schématique (deuxième partie), non légendé, représentant le schéma topographique du secteur Sud (s. d.).
Relevé 29. Plan schématique, non légendé, représentant le schéma topographique des secteurs nord et sud (s. d.).
Relevé 30. Plan schématique, non-légendé, représentant le carroyage des secteurs nord et sud (s. d.).
Relevé 31. Coupe de la campagne 1964, M18-M17.
Relevé 32. Coupe Est-Ouest de la tranchée Sud (s. d.).
Relevé 33. Coupe Nord-Sud en 15, coté ouest, n° A (s. d.).
Relevé 34. Coupe A.A'.B., secteur Nord. (s. d.).
Relevé 35. Coupe Q16-17, face Nord (s. d.).
Relevé 36. Coupe non légendée, représentant une variante non phasée de la coupe 35 (s. d.).
Relevé 37. Coupe non légendée, représentant les carrés L16-M16 (s. d.).
Relevé 38. Coupe non légendée, représentant les carrés M17-M16 (s. d.).
Relevé 39. Coupe schématique non légendée, représentant une coupe théorique avec niveaux et phasage (s. d.).
Relevé 40. Carte topographique (non légendée) du Levant Sud (s. d.).
Relevé 41. Carte (non légendée) de situation de Munhata et de Neve Ur (s. d.).
Relevé 42. Plan topographique non légendé (s. d.).
Présence d'une liste de légendes correspondant aux 14 premiers relevés, classée en fin d'article.
Fait partie de Equipe "Ethnologie préhistorique"
L'auteur de l'étude est inconnu.
Les diapositives sont en majorité non légendées.
La plupart des diapositives ne portent pas de nom d'auteur. Certaines diapositives sont d'A. Leroi-Gourhan, A. Vila et C. Farizy.
Essai de granulométrie appliquée aux gisements préhistoriques d’Arcy-sur-Cure
Fait partie de Equipe "Ethnologie préhistorique"
Texte et illustrations préliminaires, 13 graphiques, lettre, notes.
Présence d'une "coupe Nord au mètre 8"
L'Aurignacien de la Grotte du Renne
Fait partie de Equipe "Ethnologie préhistorique"
Plans (originaux et photocopiés), cartes.
Dessins d'objets de Roger Humbert pour publication
Fait partie de Equipe "Ethnologie préhistorique"
Les planches et dessins concernent la Grotte du Renne (couches IV, V Périgordien, VI) et la Grotte de l'Hyène.
Présence de légendes au verso de la plupart des dessins.
Présence de 3 tirages photographiques.
Fait partie de Equipe "Ethnologie préhistorique"
Programmes de conférences, documents d'organisation et listes des équipes
Présence d'un règlement du camp de fouilles (1946-1947).
Présence d'un relevé sur calque (s.d.)
Documents de 1946-1947, 1950-1951 et s.d.
Fait partie de Equipe "Ethnologie préhistorique"
Liste des campagnes de 1945 à 1953 (Arcy et autres sites), listes des équipes, documents d'organisation, rapport de Michel Guiomar, coupures de presse humoristiques, textes de chansons.
Fait partie de Equipe "Ethnologie préhistorique"
Les tirages ne portent pas de numéros de négatif ; les noms des auteurs ne sont pas indiqués.
Fait partie de Equipe "Ethnologie préhistorique"
Diapositive 1. Mammouth (cliché A. Leroi-Gourhan ou Laboratoire Ethnologie préhistorique, UA 275, 1963).
Diapositives 2 et 3. Autre mammouth (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 4. Bison (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 5. Tracés digitaux (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 6. Diapositive non légendée (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 7. Vulve (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 8. Tête de cervidé provenant peut-être d’Arcy (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 9. Autre vulve (duplicata de D. Vialou ? 1982).
Diapositive 10. Tracés végétaux (duplicata de D. Vialou ? 1982).
Diapositives 11 et 12. Diapositives non légendées (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 13. Mammouth (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 14. Grille (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 15. Autre vulve (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 16. Grille (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositives 17-18. Diapositives non légendées (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 19. Tête de cervidé (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 20. Tête de bison ? (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 21. Bison (cliché A. Leroi-Gourhan ? s.d.)
Diapositive 22. Diapositive non légendée (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Planches photographiques isolées
Fait partie de Equipe "Ethnologie préhistorique"
Planche 1. Figures 3 et 4 non légendées de la chronique Vaufrey (s.d.).
Planche 2. Assemblage de tirages non légendé (s.d.).
Planche 3. Arcy, H, chantier en D9-10, Karst A-Z 12-13 (1955).
Planche 4. Arcy H 56-9, E-F-G-10 ; Arcy 56, H10-11, F9-E-F-10, surface du IV B6, coupe de B2-3-4-5 ; Arcy H 56-12-13, E-F-10, décapage IV B6 ; Arcy, H 56-14, E-F10, IV B6, décapage ; Grotte de l’Hyène (1956).
Planche 5. Planche non légendée (s.d.).
Planche 6. F9 au fond, décapage en D9-10, E9-10, surface du IVb6 ; suçoir en E10 ; suçoir en E9, détail ; suçoir en E9, vue générale ; vue de la coupe en E8 (1955).
Planche 7. Grotte de l’Hyène, décapage du IV b1 en F8 ; vue générale F9-F8-E8 ; coupe en F9 après enlèvement du IV a ; F9, coupe, terrier au centre, le décapage est arrêté sur le IV b1 (1955).
Planche 8. Planche non légendée (s.d).
Planche 9. Détail du Karst (plancher) en Y12 ; Karst en Y10-11-12 ; coupe des sables et galets en Y11-12 ; sondage paroi karst Y11-12 ; paroi Nord du sondage en Y-Z-A-12-13 (1955).
Planche 10. Planche non légendée (s.d.).
Planche 11. Planche-contact non légendée (s.d.).
Les planches ne portent ni numéro de négatif ni mention d’auteur.
Fait partie de Equipe "Ethnologie préhistorique"
Tirages 1-2. RHP, grotte du Bison (sans auteur, 1958).
Tirage 3. Non légendé (sans auteur, s.d.).
Tirage 4. c-d-e-f, vue d’ensemble (sans auteur, s.d.).
Tirage 5. Détail dans c-d-e-f (sans auteur, s.d.).
Tirages 6 à 15. Tirages non légendés, sans auteur, s.d.
Les tirages ne portent pas de numéros de négatifs.
Fait partie de Equipe "Ethnologie préhistorique"
Plan 1. Plan des sites de la vallée de la Seine autour de Pincevent (sans auteur, s. d.).
Plan 2. Plan des parcelles autour de Pincevent (sans auteur, s. d.).
Plan 3. Plan avec localisation des vestiges du Néolithique au Moyen-Age à Pincevent (sans auteur, s. d.).
Plan 4. Plan topographique de la surface entre le niveau II et le niveau III, 1976-1977 (sans auteur, [1977].
Plan 5. Plan de la délimitation de la surface fouillée, 1977-1978 (sans auteur, [1978].
Plan 6. Niveau de la surface avant la fouille en section 26 (sans auteur, 1980).
Plans 7-8. Plans schématiques avec localisation des calages de poteaux, 1964-1982 (sans auteur, [1982].
Plan 9. Localisation des trous de poteaux dans les sections 17-26 (sans auteur, s. d.).
Plans 10-11. Localisation des calages de poteaux (sans auteur, s. d.).
Plan 12. Plan des altitudes des niveaux I et II (sans auteur, 1975).
Plan 13. Plan des trous de poteaux dans la section 26, niveau I, 1976-1977 (sans auteur, [1977].
Plan 14. Plan des trous de poteaux et des vestiges dans la section 26, 1976-1977 (sans auteur, [1977].
Les plans 2, 3 et 8 sont annotés.
Présence de notes et de tirages photographiques concernant les trous de poteaux, classés en fin d’article.