Lettres, demandes de subvention au CNRS et au CNL (centre national du livre), tarifs, note sur la trésorerie.
Curriculum vitae, texte préparatoire, bibliographie, synthèse des travaux, notes, rapports, attestation, diplôme, lettre.
CB29. Textes numériques.
CB198. Textes sur support papier.
Cet herbier a été réalisé par Catherine Baroin à Droua (domaine Toubou) dans le cadre d'un projet d'étude sur la médecine toubou. L'herbier contient des plantes médicinales identifiées par leur nom toubou.
Le projet n'a pas abouti.
Note de communication.
Texte préparatoire et lettre (même fichier), texte publié (photocopie).
Textes préparatoires, textes publiés, formulaires, texte de la convention pour la publication rétrospective du Journal de la Société des Africanistes sur le portail "Persée", lettre, texte de présentation de la revue, fiche de renseignement, formulaire de demande d'adhésion à "Revues.org", cahier des charges de Revues.org, état des stocks.
Intitulé de la communication de C. Baroin : "Eleusine et maïs, cent ans de cuisine des céréales chez les Rwa (Tanzanie du Nord)".
Programme, texte de la conférence.
Courriels.
Textes préparatoires, courriels, lettres.
Textes préparatoires, texte publié, notes, courriel, photocopie d'article.
Contrat de publication, tirés à part.
Texte de présentation de l'ouvrage pour le site web "The Conversation".
Textes préparatoires, lettres, photographies.
Photographies n° 20140118_01 à 20140118_37.
Photographies n° 20140301_001 à 20140301_004. Le nswa est servi avant la cérémonie
Photographies n° 20140301_006 à 20140301_007. Conseil préalable
Photographies n° 20140301_008 à 20140301_026. Les femmes des Kilovio apportent les bouteilles de soda escortées par les guerriers.
Photographies n° 20140301_023 à 20140301_026. Et le "père" des Kilovio vient à leur rencontre.
Photographies n° 20140301_027 à 20140301_038. Arrivée sur le lieu de la cérémonie.
Photographies n° 20140301_043 à 20140301_049. Demande de circoncision.
Photographies n° 20140301_050 à 20140301_054. Et don des sodas.
Photographie n° 20140301_055. Deux vieillards.
Photographie n° 20140301_056. Le secrétaire général des Kilovio prend la parole.
Photographies n° 20140301_057 à 20140301_109. Dons de couvertures et de pagnes aux épouses, ainsi qu'à la doyenne.
Photographie n° 20140301_111. Côté cuisine.
Photographies n° 20140301_114 à 20140301_124. Repas final à l'ombre.
Photographies n° 20140222_01 à 20140222_03. Champ de tomates irrigué.
Photographies n° 20140222_04 à 20140222_61. Désignation du nouveau chef de boma (terme masaaï qui signifie "lignage", "maison"), après le décès du précédent. Vues de détails : viande à rôtir, les femmes à l'arrière de la réunion des hommes du clan, distribution des vêtements du mort, distribution des sodas, repas des chefs à l'intérieur.
Photographies n° 20140222_62 à 20140222_63. Centre ville.
Photographies n° 20140228_01 à 20140228_49. Songoro, séance d'exorcisme chez Mwalimu Kisetu, un instituteur à la retraite.
Photographies n° 20140228_50 à 20140228_52. Ndatu, bananes attendant le transport au marché.
Texte préparatoire, texte publié.
Photographies n° 20140322_001 à 20140322_015. Danses des voisins Arusha.
Photographies n° 20140322_016 à 20140322_022. Arrivée des Kilovio avec les caissons de soda.
Photographie n° 20140322_025. Les VIP à la tribune, la sono.
Photographies n° 20140322_027 à 20140322_035. Remise de Bibles aux leaders et leurs épouses.
Photographies n° 20140322_042 à 20140322_069. Le ndata passe de main en main, d'un chef à l'autre...
Photographies n° 20140322_070 à 20140322_084. ... avant d'être remis au nouveau chef par le "père" des Kilovio, Ndesaulo Melita Akyoo.
Photographies n° 20140322_087 à 20140322_093. Remise de couvertures au nouveau chef et son assistant ...
Photographies n° 20140322_094 à 20140322_095. ... et de pagnes à leurs épouses.
Photographies n° 20140322_096 à 20140322_109. Autres remises de couvertures, de pagnes et de guirlandes.
Photographies n° 20140322_110 à 20140322_123. Discours de l'assistant du Nshili Nnini.
Photographie n° 20140322_124. Le chef des Kilovio d'Ulonga et sa femme, avec C. Baroin.
Légendes manuscrites et fichier électroniques des légendes (réalisé à posteriori).
Légendes manuscrites et fichier électronique des légendes (réalisé à posteriori).
Légendes manuscrites, fichier électronique des légendes (réalisé à posteriori).
Légendes manuscrites, fichier électronique des légendes (réalisé à posteriori), rapport préliminaire.
Lettre électronique publié sur le site de la Société des Africanistes.
Textes publiés.
Catherine Baroin était membre du bureau.
Ordres du jour, comptes rendus des réunions et assemblées générales, listes des membres, bilan comptable, rapport financier, statuts, règlement intérieur, documents afférents au fonctionnement de l'association.
Courriels, appels à dons, rapport moral, convocations, photographies, bilan financier, documents relatifs aux impacts de l'exploitation du pétrole au nord est du Niger, notamment sur la hausse de la mortalité des camelins dans les localités de Tintouman, Galmayanga, Hadara, Gani, Aromi, Banda et Laharit.
Programme d'une table ronde, circulaire, liste des membres, listes de courriels, courriels, documents préparatoires de la newsletter.
Dossier de presse, lettre.
Le texte de présentation du réseau provient du site internet du réseau :
"Méga-Tchad est un réseau international de recherches pluridisciplinaires sur l’histoire et l’évolution des sociétés dans le bassin du lac Tchad. Constitué progressivement, à la suite d’une première réunion multidisciplinaire en 1984 à Paris, il comporte plus de 400 correspondants répartis dans une vingtaine de pays: Allemagne, Australie, Autriche, Belgique, Cameroun, Canada, Danemark, France, Grande-Bretagne, Japon, Niger, Nigeria, Pays-Bas, RCA, Russie, Suisse, Tchad, Tchéquie, USA, etc.
Le nom du réseau, «Méga-Tchad», évoque l’aire d’extension maximale du lac Tchad, il y a quelques millénaires. Il fait référence à une vaste zone de traditions communes, d’influences, d’échanges, qui s’étend sur les cinq pays situés autour du lac Tchad: le Niger et le Tchad, le nord du Nigeria, du Cameroun et de la RCA.
Il contribue à :
- mettre en contact des chercheurs de disciplines, de pays et d'organismes différents mais opérant sur le même terrain
- faire connaître aux uns et aux autres les travaux déjà réalisés ainsi que les projets en cours
- stimuler la recherche sur cette région par l'organisation de colloques internationaux donnant lieu à publications
- favoriser la coopération internationale et particulièrement les relations Nord-Sud
- œuvrer pour le développement en mettant en valeur le patrimoine culturel"
...
"De 1986 à 2010, le réseau Méga-Tchad a édité un bulletin semestriel puis annuel, ainsi qu'un numéro spécial en 1987. Depuis 2011 les informations sont diffusées par internet (site web, blog et liste de diffusion)".
Texte préparatoire, texte publié, actes du colloque.
En mars 2002, C. Baroin a effectué une mission de reconnaissance dans diverses régions du pays Toubou (Kanem, Bahr-el-Ghazal, Djourab, Ennedi) qu'elle n'avait pas eu l'occasion de visiter jusque-là.
Ce voyage lui a permis de constater l'uniformité de la langue et du mode de vie des Daza, la prospérité de l'élevage mais aussi le dénuement de populations entièrement livrées à elles-mêmes et l'absence quasi-totale d'infrastructures sanitaires, scolaires et routières au Nord du Tchad.
Au cours de cette mission, C. Baroin a accompagné l'association " Toubou du Sahara ", une association française qui se consacre au soutien des écoles nomades, lors d'une tournée de distribution de fournitures scolaires.
C. Baroin a également expérimenté un itinéraire touristique mis en place par un groupe de Tchadiens.
La mission de janvier 2009 s'est déroulée sur le terrain des premières enquêtes de C. Baroin au Niger, afin de prendre la mesure des changements survenus depuis le début des années 1970. Après l'indispensable passage par la capitale et des contacts avec les Toubou citadins (Niamey, Zinder, Gouré), cette mission qui devait durer trois mois a été brutalement écourtée pour raison médicale. Un nouveau retour au Niger, envisagé pour 2011, est aujourd'hui compromis par la situation politique de ce pays.
Les fichiers des légendes détaillées avec les noms de personnes et les numéros des photographies sont disponibles sur autorisation au service des archives.
Cette mission chez les Rwa du Mont Meru avait pour objectif de compléter les informations recueillies lors des missions antérieures de C. Baroin (1992-1997) et surtout de mesurer les changements survenus depuis son dernier séjour en 1997, avant de rédiger un ouvrage général d'anthropologie sur ces agriculteurs bantous.
La mission de 2006 a confirmé les mutations pressenties lors des précédentes missions : le changement économique et social s'est accéléré et s'observe à de multiples égards (transports, commerce local, production agricole). L'enquête a également porté sur le système clanique et le domaine des croyances.
L'objectif principal de cette sixième mission chez les Rwa de Tanzanie du Nord était d'assister à l'inauguration en juin 2010 du nouveau chef suprême des Rwa, le " nshili nnini ". Cet événement était tout à fait exceptionnel puisque le chef précédent n'a jamais été inauguré et que le chef antérieur l'avait été en 1986 : vingt-quatre ans séparaient donc ces deux inaugurations. C. Baroin a séjourné cette fois à Akheri (dans la partie occidentale du pays rwa) chez l'évêque de l'église AMEC.
C. Baroin a assisté à l'inauguration du chef suprême mais aussi à plusieurs autres cérémonies liées notamment au système d'âge dont une nouvelle classe était créée.
En outre, elle a obtenu l'enregistrement vidéo d'une autre cérémonie qui avait eu lieu en janvier 2010 à Singisi : l'inauguration du " père " général du nouveau groupe des Kilovio pour l'ensemble du pays rwa.
De plus, elle a assisté à un mariage dans une riche famille et à plusieurs funérailles.
Le travail mené au cours de cette mission s'est axé plus particulièrement :
(1) sur le rôle juridique du clan, en partenariat avec la justice officielle tanzanienne,
(2) sur le rôle des " pères " de classes d'âge,
(3) sur la malédiction,
(4) sur l'émergence timide de revendications féminines. A cet égard comme du point de vue social et linguistique, cette région ouest du pays rwa s'avère plus progressiste que le centre et l'est.
Texte de présentation de la mission par C. Baroin :
"Première mission exploratoire chez les Rwa, agriculteurs bantous établis sur les pentes sud-est du Mont Méru. En dépit du laminage socialiste, linguistique (swahilisation) et religieux (luthéranisme), les Rwa ont préservé leurs coutumes, conservent un fort sentiment d'identité et l'usage de leur langue. J’assiste, à deux reprises, à une cérémonie générationnelle qui n'a lieu que tous les 15 à 20 ans, preuve que ce système d'âge qu'on croyait disparu est toujours actif. Les grands traits de l'organisation sociale sont repérés : chefferie, clan, division du travail, statuts sociaux, vie religieuse, mariage, économie. La rapidité de l'évolution historique récente est manifeste : de très importants changements ont eu lieu depuis le séjour de Paul Puritt (1977)."
Texte de présentation de la mission par C. Baroin :
"Cette troisième mission en Tanzanie est l'occasion de collecte d'archives et d'une prise de contacts avec des intellectuels tanzaniens pour l’édition d'un ouvrage sur la Tanzanie contemporaine, paru en 1999. La seconde partie de la mission, chez les Rwa, me permet d'observer la période de Noël, moment de vie familiale intense, et d’approfondir l’enquête sur le système politique, le conflit religieux de 1990-1993, la vie et le statut des femmes, la magie."
Texte de présentation de la mission par C. Baroin:
"Lors de cette quatrième mission en Tanzanie, j'approfondis l'étude des variations régionales de la société Rwa et son évolution historique. J’enquête en outre sur des sujets sensibles : l'excision féminine et la malédiction."
Texte de présentation de la mission par C. Baroin :
"Seconde mission chez les Rwa, où j’élucide divers aspects de l'organisation sociale : clans, propriété foncière, classes générationnelles, terminologie de parenté, héritage des noms, solidarités familiales, magie, problèmes des jeunes. J’étudie les circonstances du conflit religieux qui a perturbé très fortement la vie sociale locale de 1990 à juillet 1993, dont je suis à nouveau le témoin."
A partir de 1992, souhaitant renouveler ses thèmes d'investigation, C. Baroin a débuté l'étude d'un nouveau terrain radicalement différent, en Afrique de l'Est. Les Rwa du Mont Méru (face au Kilimandjaro en Tanzanie du Nord) qui parlent une langue bantoue, pratiquent une agriculture très intensive sur des sols volcaniques riches et bien arrosés dans la zone dite " café-banane ". Leur organisation sociale associe clans patrilinéaires et classes générationnelles ainsi qu'un système politique mêlant tradition et modernisme, à la suite des luttes foncières qui les ont opposés au colonisateur dans les années 1950. Luthériens et caféiculteurs, leur société est en mutation rapide.
La réflexion comparative joue un rôle essentiel car l'objectif est de cerner ce qui fonde la spécificité de la société étudiée dans un contexte géographique et anthropologique plus large, caractérisé par une grande diversité. Les données recueillies chez les Rwa sont donc confrontées avec les descriptions d'autres sociétés bantoues ou nilotiques voisines.
Divers thèmes ont été jusqu'à présent abordés. D'abord l'analyse d'un conflit au sein de l'église luthérienne au début des années 1990 puis celle de l'histoire locale de la culture du café. C. Baroin a également décrit le système politique des Rwa avec sa chefferie néotraditionnelle assortie d'une constitution écrite, et étudié l'évolution des pratiques alimentaires comme marqueurs de l'identité. Elle a mené ensuite une réflexion générale sur les problèmes posés par l'analyse du changement.
Les " Toubou " ou " Téda-Daza " avaient été peu étudiés avant les premières enquêtes de C. Baroin en 1969. Ces pasteurs saharo-sahéliens occupent un quart du Sahara, au nord du lac Tchad. Ils vivent d'élevage extensif de dromadaires et de bovins dans un milieu naturel comparable à celui des autres sociétés pastorales occupant les mêmes latitudes (Touaregs, Maures, Peuls, Arabes tchadiens notamment). Leur mode de vie est donc comparable, mais les Toubou se distinguent de ces autres sociétés d'éleveurs par une organisation sociale très différente. Leur originalité tient à la règle de mariage et au mode de constitution des unités socio-économiques, à l'architecture des liens sociaux dont les transferts de bétail constituent la trame, et à une organisation politique acéphale sous-tendue par des réseaux denses de rapports interpersonnels égocentrés.
C. Baroin a donc cherché à souligner au fil de ses travaux, pour chaque domaine de la vie sociale, ce qui fait l'originalité des Toubou en regard des autres sociétés pastorales de cette zone et en quoi les divers aspects de leur organisation sociale particulière s'articulent en un ensemble cohérent. De nombreux sujets sont ainsi abordés dans cette perspective logique et comparative générale.
Courriels, lettres, texte publié.
Documents de 1999-2000 et de 2007.
Texte préparatoire, texte publié (tiré à part, photocopie, texte numérique), rapport de mission.
Rapports, notes, lettres.
Diapositive n° 1994-01-01. Sculpteur d'ébène (art makonde) à Oysterbay, Dar-es-Salaam, 05/12/1994.
Diapositives n° 1994-01-02 à 07. Tableaux d'art tinga-tinga en vente à Oysterbay, Dar-es-Salaam, 05/12/1994.
Diapositives n° 1994-01-08 à 24. Zanzibar, du 09 au 11/12/1994.
Diapositive n° 1994-01-25. Limite de la réserve forestière d'Arusha à Seela, 17/12/1994.
Diapositives n° 1994-01-26 à 30. Bucherons scieurs de long à Seela, 17/12/1994.
Diapositive n° 1994-01-31. Forêt plantée et bucherons à la limite de la réserve forestière à Seela, 17/12/1994.
Diapositive n° 1994-01-32. Colline de Ndoombo, depuis la limite de la réserve forestière, Seela, 17/12/1994.
Diapositive n° 1994-01-33. La forêt sauvage de la réserve forestière d'Arusha à Seela, 17/12/1994.
Diapositive n° 1994-01-34. Abri de bucherons à la limite de la réserve forestière, Seela, 17/12/1994.
Diapositive n° 1994-01-35. Bucherons au travail, à la limite de la réserve forestière à Seela, 17/12/1994.
Diapositive n° 1994-01-36. Vue sur les collines de Songoro, et au loin de Sakila, à Seela, 17/12/1994.
Présence d'un duplicata pour la diapositive n°1994-01-02.