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Inventaires
03. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), vallée de la Bukhtarma. L'élevage des chevaux est resté une tradition chez les Kazakhs de l'Altaï. La terrasse de la Bukhtarma où se trouve la nécropole constitue une belle prairie. Dans le lointain vers l'est s'élèvent les montagnes et les hauts plateaux de l'Altaï, enneigés de août-septembre à juin. Là-bas sur le plateau d'Ukok, à 120 km à vol d'oiseau de Berel' mais en Russie, non loin de la frontière avec la Mongolie et la Chine, les archéologues de Novosibirsk ont fouillé des kourganes au début des années 1990 et notamment celui qui a livré le corps momifié dit de la « chamanesse »
07. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouille d'un kourgane gelé sur le site de Berel'. Dégagement d'un avant-train de cheval sacrifié au fond de la fosse funéraire. Le gel a conservé sur ce vieil étalon le pelage et les os, mais d'autres, mieux protégés du passage des pillards, ont gardé leurs organes et leurs muscles. Cet animal avait été abattu avec son mors en bouche ainsi que des ornements de bride en bois que l'on voit briller in situ
08. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouille d'un kourgane gelé sur le site de Berel'. Après enlèvement de la toiture de la chambre funéraire, on peut examiner sa construction en planches assemblées par des feuillures, et le sarcophage en place. Ce cercueil, posé sur une plate-forme de petites dalles de pierre, était fermé par un couvercle en bois fixé aux quatre angles par quatre clous ornés de griffons rapaces de bronze
14. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouilles des blocs gelés à Almaty. Vétérinaires et zoologues au travail (Claire Puyalto-Moussu de l'AFSSA-Dozulé, Sébastien Lepetz et un collègue kazakhstanais). Il s'agissait de pratiquer une véritable autopsie sur des cadavres de chevaux, mais en « transcodant » la méthode habituelle pour l'adapter à des vestiges déformés
17. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouilles des blocs gelés à Almaty. L'archéozoologue Nurumov mesure un os de cheval
18. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouilles des blocs gelés à Almaty. Caroline Relier, restauratrice (UTICA) au travail sur un prélèvement : il s'agit de séparer l'artefact de l'organique et de donner à chacun le traitement qui lui est propre
20. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouilles des blocs gelés à Almaty. Danièle Molez dessine un griffon en ronde-bosse, sculpté dans du bois avec des ajouts de cuir et crin
21. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouilles des blocs gelés à Almaty. L'un des griffons qui surmonte les clous des angles du sarcophage. Il s'agit du type de griffon rapace, aux ailes éployées
23. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Tête de griffon rapace tenant dans son bec recourbé une tête de mouflon. Derrière les têtes prennent place un rang de perles et une sorte de crinière rayonnante ébouriffée. Cette plaque présente une version réduite aux seules têtes d'une scène très répandue dans les arts des steppes, dite de la « prédation », où un carnassier (terrestre ou avien) attaque un herbivore. Mais ici, le schéma général de la composition comme le décor formé par les perles et les mèches rayonnantes de la crinière dérivent de l'art perse achéménide d'Iran
26. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Barrette de mors aux mouflons. Cette pièce de harnachement était sur le même cheval que la pendeloque au mouflon. Les barrettes ou ailes de mors étaient fixées dans des anneaux aux extrémités du mors, à l'extérieur de la bouche du cheval. Les brides en cuir de la têtière s'y rattachaient
27. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Face de félin dont la partie inférieure dessine une sorte de barbe étalée en forme de palmette. La palmette, inconnue dans les arts plus anciens de la région, a été adoptée d'après des modèles moyen-orientaux
29. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Barrette de mors à protomés d'élan, l'élan est coiffé de grands bois en palette festonnés à l'arrière et lobés à l'avant ; son museau aux grosses lèvres pend de manière caractéristique et on a gardé le détail de l'appendice charnu qui pend sous la mandibule. L'oreille, allongée vers l'arrière, trace un pont entre la tête et les bois, permettant au sculpteur de donner plus de solidité à son œuvre. Ces protomés d'élans sont obtenus par des procédés de stylisation savants qui dégagent l'essentiel du thème sélectionné. Le contraste entre la tête encore revêtue d'or et celle qui a perdu son enrobage d'étain est grand : la qualité de l'ouvrage n'est perceptible que sur la seconde
33. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Plaque pendentif sculptée, Les détails sont bien visibles car cette vue priviligie la plaque en bas-relief qui montre les deux têtes d'élans divergentes, aux immenses oreilles (comparer aux bois) et le corps aux pattes repliées de l'élan sans sa tête
03. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture rurale. Une cour de ferme à Harinoki, auprès du lac de Nojiri, Nagano
05. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture rurale. Une rue dans un village de pêcheurs, à Aïkawa, île de Sado, Niïgata
12. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Fenêtre d'une écurie de cheval à Harinoki, auprès du lac de Nojiri, Nagano
16. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Le Kotatsu (foyer), vu de côté
19. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. Une femme lavant son riz dans une canalisation, village de Nojiri , Nagano
22. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. Une paysanne avec un tapis en paille du riz (mushiro) à Arashiyama, banlieue de la ville de Kyoto
23. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. Paysannes du nord de la ville devant le temple shintoïste de Kitano, ville de Kyoto
30. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs. Le même char vu de côté : fête de Gïon, ville de Kyoto
31. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs. Des repiqueuses lors de la fêtes du repiquage du riz, à Mukômachi, ville voisine de Kyoto
05. Les couleurs d’Alexandrie. Vert. Mon voyage vers l’Orient se serait probablement arrêté à Rome, là où pour avoir eu le privilège de vivre deux ans à la Villa Médicis, j’ai commencé à comprendre que la photographie pouvait être autre chose qu’un simple geste technique. Photo 2
07. Les couleurs d’Alexandrie. Rouge. Je réalise deux missions par an avec le Centre d’Etudes Alexandrines. Cela représente, mis bout à bout, pas loin de deux années de vie à Alexandrie. Je suis né dans l’Est. J’habite le Nord, au bord de la Nonette. C’est une petite rivière qui attire l’humidité et le brouillard. Photo 1
08. Les couleurs d’Alexandrie. Rouge. Je réalise deux missions par an avec le Centre d’Etudes Alexandrines. Cela représente, mis bout à bout, pas loin de deux années de vie à Alexandrie. Je suis né dans l’Est. J’habite le Nord, au bord de la Nonette. C’est une petite rivière qui attire l’humidité et le brouillard. Photo 2
13. Les couleurs d’Alexandrie. Stop ! Quand je sors du tunnel, après avoir traversé Paris sous terre, je longe sur le campus, les bâtiments A, B,C, D. Alors quand je reviens à Alex, il se produit comme une métamorphose. Je retrouve le soleil, la lumière, les couleurs, et je quitte la peau d’André Pelle pour redevenir Dédé d’Alex
14. Les couleurs d’Alexandrie. Bleu, jaune, rouge. Je suis persuadé que l’œil, le regard, bénéficient dans les premiers jours d’un moment privilégié, un moment d’étonnement - l’impression d’avoir un œil neuf. C’est à ce moment que les images sont le plus évidentes, après vous passerez à côté sans les voir !
16. Les couleurs d’Alexandrie. Prière et narguilé. Ce que je viens faire à Alexandrie, c’est de l’archéologie, des campagnes photographiques sur les sites terrestres ou les sites sous-marins, ainsi que des campagnes photographiques au Musée Gréco-Romain . Alors quand vient le vendredi, le jour du repos, comment encore faire des photographies de cette Egypte ancienne ? Photo 1
22. Les couleurs d'Alexandrie. Voiles et toiles étoilées. Presque timidement je commencerai par les grandes artères pour m’engager ensuite dans des ruelles plus populaires. Ce que je recherche ? c’est simplement de la couleur ou des formes dans un faisceau de lumière
27. Les couleurs d'Alexandrie. Vélos et carrosseries. J’y ai trouvé le même désordre qu’à Alexandrie. J’ai commencé à faire du rangement, à tenter un classement par forme, par couleur, par binôme, par trinôme, je ne sais par quel instinct taxinomique. Photo 2
28. Les couleurs d'Alexandrie. Vélos et carrosseries. J’y ai trouvé le même désordre qu’à Alexandrie. J’ai commencé à faire du rangement, à tenter un classement par forme, par couleur, par binôme, par trinôme, je ne sais par quel instinct taxinomique. Photo 3
02. Chemins vers l'Orient, Pakistan. Turbat (province du Baloutchistan), bazar de Turbat, femme Baloutch
15. Chemins vers l'Orient, Chine. Désert du Taklamakan (Xinjiang), site archéologique de Djumbulak Kum
36. Chemins vers l'Orient, Yémen. Shibam "La Manhattan des sables", immeubles de terre crue, ville classée au patrimoine mondial de l'UNESCO, région Hadramaout
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