En 1976, un escalier d'époque achéménide est fortuitement découvert dans un quartier situé au nord-est de la ville moderne. Le Centre iranien de recherche archéologique en confie l'exploration à la Mission de Suse qui dégage l'escalier sur toute sa hauteur en 1977, sous la direction de Hamid Shahidi assisté de Rémy Boucharlat (URA 19 du centre de recherches archéologiques, CNRS) . L'extension des recherches ayant nécessité des expropriations de terrain, il est alors décidé de lever les blocs de l'escalier et de les remonter dans le jardin du Musée de Suse.
Vues générales des fouilles et de l'escalier.
Les auteurs sont Victor Aïtzegagh, Elahe Shanideh, Odile Daune, Jacques Decroix, François Vallat.
Classement par périodes d’occupation et par chantiers.
Présence de relevés d’inscriptions.
Les numéros des négatifs sont reportés sur les planches-contacts.
Les documents datent de 1968 à 1979 en large majorité. Présence de documents de 1985 liés au colloque de Cirey-les-Bellevaux (JP549).
Les auteurs sont Victor Aïtzegagh, C. Lalande, H. T. Wright et Pierre Leculier.
Les relevés correspondent à des tirages de plans d’ensemble de différents secteurs du site ou regroupant différents secteurs du site.
L’autrice de certains dessins est M. G. Froidevaux.
Vues générales des fouilles (coupes stratigraphiques, habitats, mosquée, sépultures) et du matériel (éléments architecturaux, monnaies, objets en céramique).
Vues générales des fouilles, des coupes stratigraphiques, de l'habitat, de la mosquée et des sépultures.
L’auteur de certains relevés est Pierre Leculier.
Vues des habitats.
Vues du palais, des éléments architecturaux et des peintures.
Vues du palais et des objets en céramique.
Vues du palais et des éléments architecturaux.
Vues du palais, de la sucrerie, des sépultures et du matériel.
Présence de diapositives non légendées.
Au VIIIe siècle, sur le tepe oriental de Suse connu sous le nom de "Ville des artisans", les musulmans édifient la première mosquée. Elle devient alors le centre de la cité médiévale de Suse. Entre 1976 et 1978, les fouilles conduites par Monique Kervran (URA 19, CNRS et Centre de recherche d'archéologie islamique de l'Université de Paris IV) mettent au jour la Grande Mosquée, un couvent voisin et des maisons d'habitation.
Les tirages portent les numéros des négatifs.