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Notice d'autorité

Mission archéologique française d'Hayonim

  • FRAEPMSHRG-MAFH
  • Collectivité
  • 1980-1989

La mission archéologique a été dirigée par François Valla, directeur de recherche honoraire, rattaché à l'équipe Ethnologie préhistorique (UMR 7041 Archéologies et Sciences de l'Antiquité), puis à l’UMR 8068 TEMPS.
F. Valla a dirigé les fouilles de la terrasse d'Hayonim en 1980-1981 puis de 1985 à 1989 avec O.Bar-Yosef.

"Le site d’Hayonim (Haute Galilée, Israël) est un vaste gisement préhistorique qui comprend une grotte devant laquelle s’étagent plusieurs terrasses. Les recherches conduites entre 1980 et 1989 sous l’égide du ministère des Affaires Étrangères sur la Terrasse supérieure ont rencontré des vestiges datant du Néolithique (Phase du Ouadi Rabah) et de l’Épipaléolithique (Kébarien géométrique et Natoufien récent). Les dépôts ont permis d’observer les activités des Néolithiques hors des villages qui font habituellement l’objet de fouilles. Si le Kébarien géométrique est peu représenté dans la zone étudiée, le Natoufien a donné un ensemble de structures et de sépultures. La Terrasse est un des rares sites où il est possible d’observer les premières architectures au Levant. Une des sépultures contient les restes de trois individus et apparait comme un document exceptionnel à la fois par son organisation et par la présence de canidés qui illustre le développement des relations entre l’Homme et l’Animal avant la domestication des animaux de boucherie. Un mobilier abondant, qui n’est pas identique à celui livré par la Grotte pour la même période, pose la question des relations entre les deux parties du gisement. Plus de dix mille fragments osseux identifiés (surtout des gazelles) permettent une analyse détaillée des pratiques cynégétiques. Les matériaux rassemblés dans ce volume contribuent à alimenter la réflexion sur les premiers sédentaires au Proche-Orient et leur devenir." http://www.crfj.org/vient-de-paraitre-memoires-et-travaux-du-centre-de-recherche-francais-sous-la-direction-de-valla/ (consulté le 11/07/2018)

Djindjian François

  • FRAEPMSHRG-FD
  • Personne
  • Chercheur associé au CNRS à partir de 1976

Garrod, Dorothy Anne Elizabeth (1892-1968)

  • FRAEPMSHRG-DG
  • Personne
  • 1892-1968

Dorothy Garrod nait le 5 février 1892 à Londres. Elle grandit entourées de savants ; son grand-père, son oncle et son père sont tous membres de la Royal Society. Après de longues études classiques, elle est admise à l’université de Cambridge, puis entre à Newnham College où elle passe une licence d’histoire. Ses dernières années d'études coïncident avec les premières années de la guerre. En 1916, elle décide de s’engager dans les cantines de l’armée et sert jusqu’en 1919 du nord de la France au bord du Rhin. La paix revenue, elle rencontre l’ethnologue et anthropologue Robert Marett (1866-1943) qui l’entraîne vers l’ethnologie comparée.
En 1921, après l’obtention d’un diplôme d’anthropologie, une bourse de voyage lui permet de partir quelques mois en France. Elle visite des cavernes ornées pyrénéennes avec le comte Begouen et rencontre l’abbé Henri Breuil à Ussat (Ariège) qui l’emmène visiter les grottes de Niaux. Sous son égide, elle aborde l’année suivante l’étude du paléolithique à l’Institut de Paléontologie Humaine de Paris, alors dirigé par Marcellin Boule. C’est au cours de cette période de formation (1922-1924) qu’elle se lie d’amitié avec le Père Teilhard de Chardin et d’autres personnalités du monde scientifique de l’époque. Guidée par le Dr H. Henri-Martin elle débute dans la fouille à la Quina, puis suis un stage aux Eyzies sur les chantiers de Denis Peyrony.
De retour en Angleterre, elle parcourt le pays, de Victoria Cave à Kent’s Cavern, contrôlant par l’observation sur le terrain toutes les sources écrites. À la suite de ces prospections, elle fait paraître en 1925 son premier ouvrage, consacré au Paléolithique supérieur en Grand Bretagne, première synthèse sur la question qui selon l’abbé Breuil comble une véritable lacune de la littérature scientifique. En ce milieu des années vingt, elle effectue de nouveau quelques voyages en France, en particulier chez les Saint-Périer qui explorent les gisements autour de Lespugue.
En 1926, sur les conseils de l’abbé Breuil, elle entreprend ses premières fouilles à Devil’s Tower au pied du Rocher de Gibraltar. Elle y découvre le crâne d’un enfant néandertalien, associé à une industrie moustérienne, ce qui lui permet de préciser pour la première fois la chronologie du paléolithique supérieur de la péninsule.
À l’automne 1927, D. Garrod est invitée à se joindre à la commission internationale chargée d’émettre un avis sur l’authenticité du site archéologique de Glozel (Allier) découvert trois ans plus tôt par Emile Fradin. En janvier 1928, la commission conclut à la non ancienneté de l’ensemble des documents qu’elle a pu étudier à Glozel et soulève un tollé.
Début 1928, elle quitte l’Europe pour la Palestine avec pour projet de tenter de préciser la chronologie du paléolithique de la région. Elle est accueillie à Jérusalem par le Père Louis-Hugues Vincent (1872-1960), archéologue Français, moine dominicain, enseignant à l'École biblique et archéologique française de Jérusalem. Ce premier voyage marque le début d’une longue et brillante carrière de 36 ans dans les pays du Levant. Dès son arrivée, D. Garrod, soutenue par la British School of Archaeology, explore la grotte de Shukbah, près de Ramleh signalée dès 1924 par le Père Alexis Mallon (1875-1934). Elle y découvre l’existence du Mésolithique palestinien qu’elle nomme plus tard « Natoufien » et y exhume de nombreux ossements humains. Durant l’automne 1928 et jusqu’à Noël, elle poursuit ses recherches sur le paléolithique en Irak (Kurdistan du sud), repère des sites aux environs de Sulaimani et effectue quelques sondages dans les grottes de Hazar Merd et Zarzi (industries paléolithiques). Après cette expédition, elle se voit confier les fouilles des grottes du Mont Carmel (Wady el-Mughara), menacéés de destruction par une exploitation de carrière.
La fouille des grottes (M. es-Skhul, M. el-Wad, M. et-Tabun) s’étale sur sept campagnes (1929 à 1934) durant lesquelles la British School of Jerusalem et l’American School of Prehistoric Research collaborent étroitement. Ces travaux permettent à D. Garrod d’établir définitivement dans ses grandes lignes, la succession stratigraphique de l’âge de pierre en Palestine, allant du « Tabounien » au « Natoufien ». Le résultat des recherches est consigné dans le premier volume de : « Stone Age of Mont Carmel » (1937). La parution de l’ouvrage fut selon S. Cassou de Saint-Mathurin, un événement marquant : « Dorothy Garrod tentait de replacer les sédiments des couches, minutieusement décrits et observés, et la faune dans le schéma de l’évolution climatique élaboré par L. Picard. Si le tableau de la distribution au Carmel des espèces animales dans le temps, qu’elle proposait en accord avec D. Bates parait aujourd’hui trop simpliste, ce soucis d’éclairer les problèmes sous plusieurs angles, l’excellence de l’analyse des industries pour la plupart nouvelles, la précision des plans, que Dorothy Garrod levait elle-même, des coupes et des repères, faisaient à l’époque du premier volume de ce mémoire un ouvrage d’avant-garde dans le domaine scientifique. Il demeure la pierre angulaire de la préhistoire palestinienne » (L’Anthropologie-1970).
En 1935, afin de trouver des jalons entre les industries du Proche-Orient et de l’Europe, D. Garrod monte deux expéditions, l’une en Anatolie, l’autre dans les Balkans. La fouille de la grotte de Bacho-Kiro en Bulgarie permet d’esquisser une séquence du paléolithique de la région, mais le matériel récolté s’avère insuffisant pour pouvoir établir les comparaisons escomptées.
Depuis 1933, D. Garrod retrouve chaque hiver Newnham College (Université à Cambridge, Angleterre) où elle est chargée de diriger les études archéologiques. Elle obtient dans le courant des années 30 le grade de Docteur ès Science de l’université d’Oxford et le 1er octobre 1939, est nommée Disney Professor à Cambridge. Elle est alors la première femme titulaire d’une chaire dans cette université.
En 1940, la guerre éclate. D. Garrod s’enrôle dans la section féminine de la R.A.F. et travaille jusqu’à la fin du conflit au centre d’interprétation photographique de l’armée de l’air. Après la guerre, elle retrouve sa chaire de Cambridge et à partir de 1948 collabore pendant ses vacances, à la fouille de l’abri du Roc-aux-Sorciers (Vienne) avec Suzanne Cassou de Saint Mathurin.
En 1953, elle décide de résigner sa chaire afin de se consacrer davantage aux travaux de terrain, se fixe à « Chamtoine », près de Villebois-Lavalette (Charente), mais gagne régulièrement le Moyen-Orient. Cette année-là, D. Garrod retourne à Jérusalem où elle est l’hôte de l’École Américaine. Elle complète le travail sur les grottes d’Emireh et de Kebarah que son coéquipier de la première heure, Francis Turville Petre n’eut le temps d’achever. À partir de 1958, avec l’autorisation et l’appui de l’Émir Maurice Chebab, accueillie par l’Institut français de Beyrouth, elle mène des sondages sur les sites côtiers du Liban, abri Zumoffen, grottes du Ras-El-Kelb (avec G. Henri-Martin) et du Bezez (avec Diana Kirkbride et James Skinner). « Elle y découvr[e] les plages soulevées qu’elle y cherchait, en relation avec les industries yabroudiennes et levalloiso-moustériennes » (L’Anthropologie-1970).
De 1963 à sa disparition, le 18 décembre 1968, à Cambridge Dorothy Garrod s’attelle à la préparation de la publication de ses derniers travaux au Liban. Elle n’eut pas le temps de mener ce travail à bien. C’est son équipe qui s’en est chargée dans les années qui ont suivi son décès.

Mission archéologique française au Makran (Pakistan)

  • FRAEPMSHRG-MAFMA
  • Collectivité
  • 1987-2007

La Mission Archéologique Française au Makran (MAFM) a été fondée par Roland Besenval en 1987. La mission ainsi que Roland Besenval étaient affiliés à l'Unité Propre de recherches (UPR) 315 du CNRS de 1987 à 1996. À partir de 1997, ils ont intégré l'Unité Mixte de Recherche (UMR) 9993 (Centre de Recherche Archéologique Indus-Balochistan). La MAFM se concentre sur l'étude des premières oasis et communautés d’Ichtyophages (du grec Ichthyophagoï ou « Mangeurs de poisson »), allant du Ve millénaire jusqu'à la conquête islamique. La mission est issue du « programme Makran » de la Mission Archéologique Française en Asie centrale (MAFAC). De 1987 et 1990 la MAFM est liée administrativement à la MAFAC. Elle s’inscrit dans le cadre d’une coopération franco-italienne avec la Mission Écologique et Archéologique Italienne au Makran dirigée par Valeria Fiorani-Piacentini (Université Catholique de Milan). Cet accord donnait la direction des recherches archéologiques à la MAFM. Il simplifiait également les démarches pour obtenir des permis de fouilles auprès des autorités pakistanaises. C’est à partir de 1991 que la MAFM devient indépendante financièrement, avec la création d’un compte TGE propre à la mission, permettant de recevoir des financements de la commission des fouilles du Ministère des affaires étrangères (MAE). Notons que les missions archéologiques françaises au Pakistan ne disposaient pas de soutien technique, logistique ou administratif de la part d’une institution française sur le terrain. En 1995, la MAFM est intégrée dans les accords signés par la Commission culturelle mixte franco-pakistanaise. En décembre 1997, le programme rejoint l'UMR 9993 du CNRS au Musée Guimet, sous la direction de Jean-François Jarrige. À partir de 2004, la mission est co-dirigée avec Vincent Marcon (CNRS). Les travaux sont interrompus en 2007 en raison de problèmes administratifs, puis cessent définitivement après 2010 pour des raisons de sécurité. En 2013, la MAFM et la Mission archéologique de l'Indus (MAI) fusionnent pour former la Mission Archéologique du Bassin de l’Indus (MAFBI), sous la direction d’Aurore Didier. La MAFM a fait l’objet de communications régulières entre 1987 et 2007, lors des congrès internationaux de la South Asian Archaeology (SAA). La MAFM est un programme de recherche pluridisciplinaire qui inclut diverses études connexes, telles que sur le peuplement agricole de la plaine de Dasht au IIIe millénaire dirigée par Roland Besenval, l'exploitation des ressources maritimes dans la zone côtière par Jean Desse et Nathalie Desse-Berset, l'analyse de la céramique (provenant des prospections ainsi que des sites de Miri Qalat et de Shahi-Tump), des études paléo-environnementales, l'études des lithiques, des études géomatiques en coopération avec le CEPAM, des études anthropologiques, de l'archéozoologie et l'étude de la métallurgie. Deux thèses soutenues en 2007 ont été consacrées à l'étude de la céramique : la première par Aurore Didier, portant sur la production céramique du Kech-Makran (Pakistan) dans la première moitié du IIIe millénaire av. J.-C., et la seconde par Benjamin Mutin, traitant de la production céramique des périodes II et IIa du Makran pakistanais (IVe millénaire av. J.-C.). La MAFM est centrée dans le Balochistan pakistanais, plus précisément dans la région du Makran, située dans le Sud-Ouest du Pakistan. Cette région semi-désertique de 200km de large sur 600km de long est caractérisée par de multiples montagnes et des plateaux de basse altitude qui définissent des vallées. Cette région était désignée dans les textes antiques sous le terme de « Gédrosie » ou côte des Ichthyophages. En janvier-février 1928, Sir Aurel Stein (1862-1943) réalise la première exploration archéologique et révèle la présence d'un peuplement protohistorique. En 1960, une mission américaine dirigée par George F. Dales (1927-1992) s'intéresse au site de Sutkagen-dor, près de Pasni, au niveau de la plaine côtière. Par la suite, la région est longtemps restée en marge de la recherche archéologique en raison de sa géographie, de l’accès limité à la région et du contexte politique du XXème siècle.

Phase 1 : Les prospections au Kech-Makran (1987-1989)

La première phase de la mission, effectuée entre 1987 et 1989 dans les districts de Turbat et de Gwadar, visait à établir une carte archéologique et une datation des vestiges de la région, par la collecte du matériel de surface. La phase une s’est étendue sur 3 campagnes lors des hivers 1986-1987, 1987-1988, 1988-1989, permettant d’inventorier 120 sites. Cette première phase du programme a fait l’objet de la publication « Cartography of ancient settlements in central southern Pakistani Makran. New data. » de Roland Besenval et Paul Sanlaville (Mesopotamia, vol. 25, 1990, p. 79-146.).

(Les prospections ont été poursuivies lors de chaque campagne de fouilles, portant le nombre de sites prospectés à 228 sites entre 1987 et 2007. La prospection a rencontré plusieurs limites, notamment en raison de l'inaccessibilité de certaines zones à cause du contexte géopolitique, en particulier près de la frontière avec l’Iran. De plus, des problèmes liés au pillage entre 2003 et 2005 des cimetières protohistoriques ont également entravé les recherches).

Phase 2 : Fouilles du site de Miri Qalat (site n°1) (1990-1996)

La seconde phase a été lancée après la première phase consacrée à la prospection. Le site de Miri Qalat (site n°1) a été sélectionné. Il répondait le mieux à ces objectifs, car le matériel de surface attestait de sa longue période d'occupation. Cette phase avait un objectif de restituer le cadre chronologique du peuplement ancien du Kech-Makran. Miri Qalat se situe près de la ville de Turbat. Le site présentait des contraintes topographiques significatives. Le site constitué d’un dépôt de vingt mètres de dépôts archéologiques, est surmontée d’une citadelle datant de l'époque islamique récente. Lors des 5 campagnes de fouilles successives de 1989 - 1990 à 1995 - 1996, douze phases culturelles ont été identifiées lors de la stratigraphie du site allant de la période I (Vème millénaire av. n. è.) correspondant à la première occupation du site, jusqu'à l'époque actuelle.

Phase 3 : Site de Shahi-Tump (site n°2) (1997-2007)

La site de Shahi-Tump dont le nom signifie « mont royal » se situe à l’opposé du site de Miri-Qalat, au sud, de l’autre côté de la rivière Kech, en périphérie de la ville de Turbat. Shahi-Tump fait partie d’un des sites sondé par Aurel Stein en 1928. Cette phase avait pour objectif d’étudier le peuplement chalcolithique identifié à Miri Qalat. En plus de la découverte de plusieurs niveaux d'architecture en briques crues et en pierres, une importante nécropole est mise en évidence dont les principales découvertes sont issues. Le cimetière le plus récent (période IIIa, vers 3400-2800 av. n. è.) a révélé des vestiges mobiliers riches, illustrant un artisanat céramique et métallurgique indiquant ainsi des connexions étroites avec les cultures du Sud-Est du Plateau iranien. La fouille des différents sondages en 2006 sur le site de Shahi-Tump n'a pas pu être terminée pour des raisons de sécurité.

Ichon Alain

  • FRAEPMSHRG-AI
  • Personne
  • 1922-2019

Burnouf Joëlle

  • FRAEPMSHRG-JB
  • Personne
  • Enseignante-chercheuse à partir de 1982

Joëlle Burnouf est une archéologue française, spécialiste de la période médiévale. Dès la fin des années 1960, elle dirige des fouilles programmées, mais aussi des fouilles de sauvetage. Sa thèse, soutenue en 1978, porte sur les mottes castrales. En 1988, elle prend la direction des Antiquités Historiques et Préhistoriques de Lorraine, qu’elle quitte en 1990 pour un poste de maitresse de conférences à l’université Michel de Montaigne - Bordeaux III. En 1994, elle devient professeure d’histoire du Moyen-Age à l’université François Rabelais de Tours. Enfin, en 2000, elle rejoint l’université Paris I Panthéon-Sorbonne en tant que professeure d'archéologie médiévale. A la fin de sa carrière, elle est rattachée à l’équipe Archéologies Environnementales de l’UMR 7041 ArScAN.

Munoz Olivia

  • FRAEPMSHRG-OM
  • Personne
  • Chercheuse au CNRS à partir de 2018

Olivia Munoz est archéo-anthropologue, spécialiste de la préhistoire récente et la protohistoire de l’Arabie du Sud-est. Recrutée en tant que chargée de recherche au CNRS en 2018, elle est rattachée à l'UMR 8215 Trajectoires. Depuis 2016, elle dirige la mission archéologique à Shiyā (sultanat d’Oman).

Commenge Catherine

  • FRAEPMSHRG-CCO
  • Personne
  • Chargée de recherche au CNRS depuis 1993

Catherine Commenge archéologue, chargée de recherche au CNRS et rattachée à l'équipe TRACES (UMR 5608). Spécialiste de la période néolithique, sa thèse soutenue en 1986 portait sur le Néolithique moyen en Grèce du Nord. Elle a notamment dirigé les fouilles du site de Munhata (Israël) de 1993 à 1995.

Sans titre

La mission, sous la direction de Jean-François Bouchard, directeur de recherche au CNRS, a pour objectif l'étude du littoral Pacifique Nord équatorial (Nord de l’Équateur et Sud de la Colombie) entre le VIe siècle av. J.-C. et 1532 après J.-C.
L'étude, conduite à partir du site d'El Morro, porte en particulier, sur le rôle de ce site dans les échanges interrégionaux sur ce littoral.
La Mission a bénéficié du soutien du ministère des Affaires étrangères. Elle a été menée dans le cadre de l'UPR 312 du CNRS en collaboration avec l'Institut colombien d'anthropologie.

Sans titre

La mission, sous la direction de Jean-François Bouchard, directeur de recherche au CNRS, a pour objectif l'étude du littoral Pacifique Nord équatorial (Nord de l’Équateur et Sud de la Colombie) entre le VIe siècle av. J.-C. et 1532 après J.-C.
L'étude, conduite à partir du site d'El Morro, porte en particulier, sur le rôle de ce site dans les échanges interrégionaux sur ce littoral.
La Mission a bénéficié du soutien du ministère des Affaires étrangères. Elle a été menée dans le cadre de l'UPR 312 du CNRS en collaboration avec l'Institut colombien d'anthropologie.

Baroin Catherine

  • FRAEPMSHRG-CB
  • Personne
  • Chercheur au CNRS depuis 1977
Résultats 201 à 216 sur 216